J-1 la fermeture.
«Ça vient une dictature», me dit un monsieur ce matin.
On est du même quartier, mais on s’est retrouvé à l’autre bout de la ville, dans un autre quartier, dans un café ouvert tôt, anciennement 5h30 ou 6h, maintenant plus que 8h, mais il faut tracer pour en trouver, des cafés qui ouvrent tôt, depuis environ une décennie. Les patrons ne sont plus à l'heure des ouvriers. A moins que les patrons n'existent plus et les ouvriers non plus - dans le nouveau langage qui les renomme autrement.